Financement
Financement industriel : Comment nous avons bouclé 17,8 M€
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Fabrice Pedro-Rousselin
Expert en financement et fondateur de CEFIN et CODINF.
Publié le :
8 déc. 2025
8 déc. 2025
Mis à jour le :
8 déc. 2025
8 déc. 2025
D'une friche abandonnée à une usine qui a du sens
D'une friche abandonnée à une usine qui a du sens
On parle beaucoup de réindustrialisation en France. Mais entre les discours et la réalité du terrain, il y a un monde. Construire une usine en 2025, c'est un parcours du combattant. On vient de le faire avec Fénix Evolution : 17,8 millions d'euros réunis pour une usine qui valorise les fruits que personne ne veut. On vous raconte les coulisses.
Fénix Evolution, c'est d'abord l'histoire de Samuel Marc et de son équipe. Leur ambition ? Reprendre une friche industrielle en PACA et la transformer en unité de production dernière génération.
Le principe est simple sur le papier : récupérer les fruits déclassés (ceux qui ne passeront jamais l'examen des rayons de supermarché) et les transformer en produits de haute valeur. Sucres de fruits, concentrés, jus, polyphénols... Des ingrédients que l'industrie agroalimentaire importe massivement aujourd'hui.
Pourquoi ça nous parle chez Cefin ? Parce que le projet coche trois cases qu'on aime bien :
Moins dépendre de l'étranger - Produire en France ce qu'on achète ailleurs, ça paraît évident. Pourtant, c'est loin d'être la norme dans l'agroalimentaire.
Réduire le gaspillage - Des tonnes de fruits partent à la poubelle chaque année simplement parce qu'ils ont une forme bizarre ou une taille inadaptée. Ici, ils deviennent la matière première.
Recréer de l'emploi industriel - Dans des territoires qui en ont bien besoin. Et pas des emplois précaires : de l'industrie qualifiée, durable.
On parle beaucoup de réindustrialisation en France. Mais entre les discours et la réalité du terrain, il y a un monde. Construire une usine en 2025, c'est un parcours du combattant. On vient de le faire avec Fénix Evolution : 17,8 millions d'euros réunis pour une usine qui valorise les fruits que personne ne veut. On vous raconte les coulisses.
Fénix Evolution, c'est d'abord l'histoire de Samuel Marc et de son équipe. Leur ambition ? Reprendre une friche industrielle en PACA et la transformer en unité de production dernière génération.
Le principe est simple sur le papier : récupérer les fruits déclassés (ceux qui ne passeront jamais l'examen des rayons de supermarché) et les transformer en produits de haute valeur. Sucres de fruits, concentrés, jus, polyphénols... Des ingrédients que l'industrie agroalimentaire importe massivement aujourd'hui.
Pourquoi ça nous parle chez Cefin ? Parce que le projet coche trois cases qu'on aime bien :
Moins dépendre de l'étranger - Produire en France ce qu'on achète ailleurs, ça paraît évident. Pourtant, c'est loin d'être la norme dans l'agroalimentaire.
Réduire le gaspillage - Des tonnes de fruits partent à la poubelle chaque année simplement parce qu'ils ont une forme bizarre ou une taille inadaptée. Ici, ils deviennent la matière première.
Recréer de l'emploi industriel - Dans des territoires qui en ont bien besoin. Et pas des emplois précaires : de l'industrie qualifiée, durable.
On parle beaucoup de réindustrialisation en France. Mais entre les discours et la réalité du terrain, il y a un monde. Construire une usine en 2025, c'est un parcours du combattant. On vient de le faire avec Fénix Evolution : 17,8 millions d'euros réunis pour une usine qui valorise les fruits que personne ne veut. On vous raconte les coulisses.
Fénix Evolution, c'est d'abord l'histoire de Samuel Marc et de son équipe. Leur ambition ? Reprendre une friche industrielle en PACA et la transformer en unité de production dernière génération.
Le principe est simple sur le papier : récupérer les fruits déclassés (ceux qui ne passeront jamais l'examen des rayons de supermarché) et les transformer en produits de haute valeur. Sucres de fruits, concentrés, jus, polyphénols... Des ingrédients que l'industrie agroalimentaire importe massivement aujourd'hui.
Pourquoi ça nous parle chez Cefin ? Parce que le projet coche trois cases qu'on aime bien :
Moins dépendre de l'étranger - Produire en France ce qu'on achète ailleurs, ça paraît évident. Pourtant, c'est loin d'être la norme dans l'agroalimentaire.
Réduire le gaspillage - Des tonnes de fruits partent à la poubelle chaque année simplement parce qu'ils ont une forme bizarre ou une taille inadaptée. Ici, ils deviennent la matière première.
Recréer de l'emploi industriel - Dans des territoires qui en ont bien besoin. Et pas des emplois précaires : de l'industrie qualifiée, durable.
On parle beaucoup de réindustrialisation en France. Mais entre les discours et la réalité du terrain, il y a un monde. Construire une usine en 2025, c'est un parcours du combattant. On vient de le faire avec Fénix Evolution : 17,8 millions d'euros réunis pour une usine qui valorise les fruits que personne ne veut. On vous raconte les coulisses.
Fénix Evolution, c'est d'abord l'histoire de Samuel Marc et de son équipe. Leur ambition ? Reprendre une friche industrielle en PACA et la transformer en unité de production dernière génération.
Le principe est simple sur le papier : récupérer les fruits déclassés (ceux qui ne passeront jamais l'examen des rayons de supermarché) et les transformer en produits de haute valeur. Sucres de fruits, concentrés, jus, polyphénols... Des ingrédients que l'industrie agroalimentaire importe massivement aujourd'hui.
Pourquoi ça nous parle chez Cefin ? Parce que le projet coche trois cases qu'on aime bien :
Moins dépendre de l'étranger - Produire en France ce qu'on achète ailleurs, ça paraît évident. Pourtant, c'est loin d'être la norme dans l'agroalimentaire.
Réduire le gaspillage - Des tonnes de fruits partent à la poubelle chaque année simplement parce qu'ils ont une forme bizarre ou une taille inadaptée. Ici, ils deviennent la matière première.
Recréer de l'emploi industriel - Dans des territoires qui en ont bien besoin. Et pas des emplois précaires : de l'industrie qualifiée, durable.
17,8 M€ : le puzzle financier qu'on a mis 2 ans à assembler
17,8 M€ : le puzzle financier qu'on a mis 2 ans à assembler
Lever presque 18 millions d'euros pour une usine, ce n'est pas juste aller voir sa banque avec un business plan sous le bras. Fabrice Pedro-Rousselin et Thibault Larose, nos associés qui ont piloté l'opération, vous le diront : c'est un travail d'horloger.
L'idée, c'était de mixer les sources de financement pour éviter de dépendre d'un seul partenaire et optimiser le coût global de la dette. Voilà comment on a structuré le tour de table :
3,5 M€ en fonds propres via une levée de fonds classique
6,7 M€ de dette bancaire négociée avec plusieurs établissements
3,5 M€ en obligations pour compléter le haut de bilan
1,5 M€ en crowdlending
2,6 M€ de subventions publiques qui valident l'intérêt du projet pour les territoires
Chaque ligne a ses contraintes, ses délais, ses interlocuteurs.
Lever presque 18 millions d'euros pour une usine, ce n'est pas juste aller voir sa banque avec un business plan sous le bras. Fabrice Pedro-Rousselin et Thibault Larose, nos associés qui ont piloté l'opération, vous le diront : c'est un travail d'horloger.
L'idée, c'était de mixer les sources de financement pour éviter de dépendre d'un seul partenaire et optimiser le coût global de la dette. Voilà comment on a structuré le tour de table :
3,5 M€ en fonds propres via une levée de fonds classique
6,7 M€ de dette bancaire négociée avec plusieurs établissements
3,5 M€ en obligations pour compléter le haut de bilan
1,5 M€ en crowdlending
2,6 M€ de subventions publiques qui valident l'intérêt du projet pour les territoires
Chaque ligne a ses contraintes, ses délais, ses interlocuteurs.
Lever presque 18 millions d'euros pour une usine, ce n'est pas juste aller voir sa banque avec un business plan sous le bras. Fabrice Pedro-Rousselin et Thibault Larose, nos associés qui ont piloté l'opération, vous le diront : c'est un travail d'horloger.
L'idée, c'était de mixer les sources de financement pour éviter de dépendre d'un seul partenaire et optimiser le coût global de la dette. Voilà comment on a structuré le tour de table :
3,5 M€ en fonds propres via une levée de fonds classique
6,7 M€ de dette bancaire négociée avec plusieurs établissements
3,5 M€ en obligations pour compléter le haut de bilan
1,5 M€ en crowdlending
2,6 M€ de subventions publiques qui valident l'intérêt du projet pour les territoires
Chaque ligne a ses contraintes, ses délais, ses interlocuteurs.
Lever presque 18 millions d'euros pour une usine, ce n'est pas juste aller voir sa banque avec un business plan sous le bras. Fabrice Pedro-Rousselin et Thibault Larose, nos associés qui ont piloté l'opération, vous le diront : c'est un travail d'horloger.
L'idée, c'était de mixer les sources de financement pour éviter de dépendre d'un seul partenaire et optimiser le coût global de la dette. Voilà comment on a structuré le tour de table :
3,5 M€ en fonds propres via une levée de fonds classique
6,7 M€ de dette bancaire négociée avec plusieurs établissements
3,5 M€ en obligations pour compléter le haut de bilan
1,5 M€ en crowdlending
2,6 M€ de subventions publiques qui valident l'intérêt du projet pour les territoires
Chaque ligne a ses contraintes, ses délais, ses interlocuteurs.
2027 : l'usine sortira de terre
2027 : l'usine sortira de terre
Aujourd'hui, Fénix Evolution a tout ce qu'il faut : le terrain est sécurisé, les équipements sont financés. Premier coup de production prévu au T1 2027.
Ce qu'on retient de cette aventure ? Qu'il est encore possible de faire émerger de l'industrie en France. Pas avec de la magie, mais avec une vraie vision portée par des entrepreneurs qui ne lâchent rien, et un montage financier qui tient la route.
Toute l'équipe de Cefin est fière d'avoir accompagné Samuel et son équipe sur ce projet. Et on leur tire notre chapeau pour leur détermination.
Vous avez un projet industriel qui vous trotte dans la tête ?
Si vous cherchez à financer une création, un développement ou une transformation industrielle, on sait faire. Structurer des financements complexes, c'est notre quotidien. Et on aime ça.
Aujourd'hui, Fénix Evolution a tout ce qu'il faut : le terrain est sécurisé, les équipements sont financés. Premier coup de production prévu au T1 2027.
Ce qu'on retient de cette aventure ? Qu'il est encore possible de faire émerger de l'industrie en France. Pas avec de la magie, mais avec une vraie vision portée par des entrepreneurs qui ne lâchent rien, et un montage financier qui tient la route.
Toute l'équipe de Cefin est fière d'avoir accompagné Samuel et son équipe sur ce projet. Et on leur tire notre chapeau pour leur détermination.
Vous avez un projet industriel qui vous trotte dans la tête ?
Si vous cherchez à financer une création, un développement ou une transformation industrielle, on sait faire. Structurer des financements complexes, c'est notre quotidien. Et on aime ça.
Aujourd'hui, Fénix Evolution a tout ce qu'il faut : le terrain est sécurisé, les équipements sont financés. Premier coup de production prévu au T1 2027.
Ce qu'on retient de cette aventure ? Qu'il est encore possible de faire émerger de l'industrie en France. Pas avec de la magie, mais avec une vraie vision portée par des entrepreneurs qui ne lâchent rien, et un montage financier qui tient la route.
Toute l'équipe de Cefin est fière d'avoir accompagné Samuel et son équipe sur ce projet. Et on leur tire notre chapeau pour leur détermination.
Vous avez un projet industriel qui vous trotte dans la tête ?
Si vous cherchez à financer une création, un développement ou une transformation industrielle, on sait faire. Structurer des financements complexes, c'est notre quotidien. Et on aime ça.
Aujourd'hui, Fénix Evolution a tout ce qu'il faut : le terrain est sécurisé, les équipements sont financés. Premier coup de production prévu au T1 2027.
Ce qu'on retient de cette aventure ? Qu'il est encore possible de faire émerger de l'industrie en France. Pas avec de la magie, mais avec une vraie vision portée par des entrepreneurs qui ne lâchent rien, et un montage financier qui tient la route.
Toute l'équipe de Cefin est fière d'avoir accompagné Samuel et son équipe sur ce projet. Et on leur tire notre chapeau pour leur détermination.
Vous avez un projet industriel qui vous trotte dans la tête ?
Si vous cherchez à financer une création, un développement ou une transformation industrielle, on sait faire. Structurer des financements complexes, c'est notre quotidien. Et on aime ça.
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